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Économie numérique/MTN Money : Révolutionner les transactions financières pour les rendre plus inclusives que jamais

MTN Money, le service d’argent mobile du groupe MTN, est à la pointe des services financiers numériques en Afrique et au Moyen-Orient. En rendant les transactions plus accessibles et plus pratiques, MTN Money révolutionne la façon dont les gens gèrent leurs finances, en particulier dans les communautés sous-bancarisées. L’information a été donnée par le directeur général de MTN Congo à l’occasion du panel des directeurs généraux en marge des activités de la 08eme édition du salon OSIANE.

MTN Money, le service d’argent mobile de la société de téléphonie mobile MTN, continue de révolutionner les transactions financières en Afrique et au Moyen-Orient. Ayant pour mission de rendre les services financiers numériques accessibles à tous, MTN Money transforme la façon dont les gens gèrent leur argent, rendant les transactions plus inclusives que jamais. 

Depuis sa création, MTN Money est à la pointe des services financiers numériques, permettant à des millions de clients d’effectuer des transactions à l’aide de leur téléphone mobile. Le service permet aux utilisateurs d’effectuer des transferts de personne à personne, de payer des factures, d’acheter du temps d’antenne et des données, et même d’effectuer des achats chez les commerçants participants. 

L’impact de MTN Money sur l’inclusion financière :
Dans de nombreux pays d’Afrique et du Moyen-Orient, les services bancaires traditionnels restent inaccessibles à une partie importante de la population. MTN Money résout ce problème en proposant une alternative simple, abordable et pratique. Selon le rapport Mobile Money Market Size and Growth de la GSMA, il y avait environ 544 millions de comptes d’argent mobile uniques enregistrés dans le monde en 2021, la majorité se trouvant en Afrique subsaharienne. MTN Money joue un rôle crucial dans cette tendance, avec plus de 45 millions de comptes actifs dans ses pays d’exploitation en 2022. 

Donner du pouvoir aux clients :
MTN Money redonne le pouvoir aux clients, leur permettant de gérer leurs finances du bout des doigts. En tirant parti de la technologie mobile, MTN Money propose une gamme de services qui répondent à divers besoins, depuis les transferts d’argent les plus élémentaires jusqu’aux fonctionnalités plus avancées comme l’épargne et les prêts. 

La vision de MTN Money pour l’avenir :
La vision de MTN Money est de continuer à étendre sa portée et à rendre les services financiers accessibles à encore plus de personnes. La société explore des partenariats avec des acteurs clés du secteur des services financiers, notamment des banques et des fintechs, pour créer un écosystème transparent offrant 

https://soleildafrique.over-blog.com/2024/04/economie-numerique/mtn-money-revolutionner-les-transactions-financieres-pour-les-rendre-plus-inclusives-que-jamais.html

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Numérique/les acteurs gouvernementaux et non gouvernementaux estiment les besoins vitaux du secteur

La deuxième édition de la conférence des Agences du numérique d’Afrique centrale s’est ouverte, le 24 avril, à Brazzaville, en marge des assises de la huitième édition du Salon international de la technologie et de l’innovation (Osiane) dénommée « KOLONGA ». Les participants vont tenter d’harmoniser leurs vues sur les politiques de la sous-région en matière du développement numérique, de cybersécurité, d’infrastructure et de formation.

L’harmonisation des politiques en matière de développement numérique est importante pour plusieurs raisons entre autres :

1. Faciliter la croissance économique et la compétitivité : Dans un monde de plus en plus interconnecté, l’harmonisation des politiques permet aux entreprises et aux individus de travailler et de commercer facilement à travers les frontières. Cela permet de créer des marchés plus vastes et de stimuler la croissance économique. En outre, une réglementation harmonisée permet aux entreprises de ne pas devoir se conformer à des règles différentes dans chaque pays, ce qui réduit les coûts et améliore la compétitivité.

2. Promouvoir la sécurité et la protection des consommateurs : L’harmonisation des politiques en matière de développement numérique peut aider à garantir la sécurité et la protection des consommateurs. Par exemple, des normes harmonisées pour la protection des données personnelles peuvent éviter que les entreprises ne partagent des informations confidentielles avec des tiers sans l’autorisation des utilisateurs.

3. Favoriser la collaboration internationale : L’harmonisation des politiques peut faciliter la collaboration internationale en matière de recherche et de développement technologique. Par exemple, des standards harmonisés pour les réseaux 5G peuvent aider les pays à travailler ensemble pour développer des technologies avancées et à déployer des réseaux performants.

4. Améliorer l’égalité numérique : L’harmonisation des politiques peut aider à réduire les inégalités numériques en évitant que certains pays soient à l’avantage par rapport aux autres. Par exemple, des normes harmonisées pour l’accès à l’internet et aux technologies numériques peuvent aider à garantir que tous les citoyens, quels que soient leur niveau de revenu ou leur localisation, ont accès aux mêmes opportunités.

Les pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cémac) ont réalisé des progrès au cours des dernières années pour construire des infrastructures numériques, mais de nombreux défis subsistent pour réduire les disparités. Selon le directeur général de l’Agence de développement de l’économie numérique, Héliodore Francis Alex Gouloubi, les dirigeants doivent mobiliser les financements nécessaires à la transformation numérique, former les cadres locaux et poursuivre la construction des infrastructures d’accès à internet.

« Les défis de la transformation numérique pour garantir la performance des services publics » est le thème de ces assises censées déboucher à un appel à l’endroit des décideurs de la sous-région. Parmi les partenaires qui accompagnent cette institution communautaire figurent l’Union internationale des télécommunications, la Cémac, la Banque des États de l’Afrique centrale, la Banque de développement des États de l’Afrique centrale et la Banque africaine de développement.

Les participants ont exprimé des attentes par rapport à l’issue de la rencontre des responsables des agences du numérique. « Cette conférence constitue un moment particulier pour nos agences, car elle va nous permettre d’élucider un certain nombre de questions liées à la digitalisation des services publics de nos pays. Je formule le vœu que celle-ci aboutisse à une harmonisation des politiques dans la sous-région pour le développement du numérique dans nos différents États », a déclaré Héliodore Francis Alex Gouloubi.   

Le sujet du développement est crucial pour le gouvernement congolais qui l’a inscrit au rang des priorités du Plan national de développement 2022-2026. D’après le ministre congolais chargé du Développement numérique, Léon Juste Ibombo, des questions précises doivent être priorisées, notamment la dématérialisation des services publics, les défis de la cybersécurité, la mise en place de nouvelles stratégies pour intégrer les systèmes numériques à travers le secteur public et pour développer des solutions innovantes et promouvoir l’interopérabilité des données.   «Pour mon pays le Congo, les récentes assises nationales du numérique tenues, du 18 au 19 avril 2024, sur le thème de la transformation numérique : catalyseur de la diversification de l’économie et opportunités pour la jeunesse, ont structuré la nouvelle architecture numérique du pays, à travers le projet de stratégie nationale du développement de l’économie numérique Vision Congo digital 2030, adossée au plan d’action y afférent », a conclu Léon Juste Ibombo.

https://soleildafrique.over-blog.com/2024/04/numerique/les-acteurs-gouvernementaux-et-non-gouvernementaux-estiment-les-besoins-vitaux-du-secteur.html

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Salon OSIANE/le numérique comme axe stratégique majeur de développement

Les défis de la transformation numérique pour garantir la performance des services publics. En toile de fond de la 08eme édition du salon international de la tech et de l’innovation en Afrique centrale (OSIANE) placée sous le thème le numérique accélérateur des performances. Organisé par l’ONG Pratic en partenariat avec l’ARPCE, ce salon vise la valorisation du numérique. La cérémonie d’ouverture des assises de ce grand rendez-vous était placée sous les auspices du premier ministre chef du gouvernement Anatole Collinet Makosso accompagné de plusieurs membres du gouvernement Congolais et des ministres de l’économie numérique de plusieurs pays d’Afrique centrale. 

Cette huitième édition baptisé « Kolonga », est un moment stratégique permettant à réunir tous les secteurs de l’écosystème du numérique en Afrique centrale. 
Ce salon auxquels participe plusieurs pays tels que le Cameroun, le Gabon, la RDC, le Burundi, le Sao Tomé et principe, la France, les états unis et bien d’autres pays vise entre autres objectifs à mettre l’accent sur les métiers du numérique en Afrique en général et au Congo en particulier, et va également promouvoir les progrès technologiques, au service du développement durable, tout en développant l’expertise des hommes et femmes évoluant dans le secteur de startups, a indiqué le ministre des postes, des télécommunications et l’économie numérique Léon juste Ibombo avant de spécifier les objectifs de ce salon à savoir la transformation de l’écosystème universitaire, l’amélioration de l’expérience éducative des étudiants de l’université Denis Sassou Nguesso et Marien Ngouabi 


Le ministre Léon juste Ibombo vois dans cette 8 ème édition placée sous le thème : « le Numérique, accélérateur de performance », comme une réponse aux recommandations pertinentes des Assises nationales du Numérique sur la transformation des processus, l’amélioration de la communication, l’innovation de nouveaux modèles commerciaux.


Et d’ajouter que la vision de la chose numérique de SEM Denis SASSOU N’GUESSO, Président de la République du Congo, Chef de l’Etat, cristallisée dans le Plan National de Développement 2022-2026, comme axe stratégique majeur de développement, a pris corps et vie sur tous les segments des activités dans notre pays.

Hier, l’apport du secteur du numérique dans les budgets de l’État congolais était faible et négligeable, aujourd’hui, grâce au hub numérique, au timbre électronique, à la collecte digitalisée de la TVA, des centimes additionnelles et autres taxes, les différents budgets de l’Etat  émargent avec fierté les prévisions des contributions financières du secteur des postes, des télécommunications et de l’économie numérique.

Le numérique a également impacté les domaines des impôts, des douanes, des banques et microfinances, des transactions transfrontalières, du commerce électronique, de la santé, de l’éducation, des PME PMI, des transports terrestres.

Il n’est pas de domaines qui puissent prévaloir autant que le domaine du numérique dans la quête de traçabilité, de transparence, d’efficacité et d’amélioration des prestations touchant plusieurs secteurs d’activités.

Le programme du salon international Osiane tel que présenté donne à comprendre  l’importance cruciale que revêt cette 8ème édition dont la particularité vise les opportunités en faveur des entreprises numériques, des projets et initiatives innovants chez les jeunes, les femmes, les startups où d’ailleurs un prix de 10.000.000 F.CFA est offert.

  
Ce salon international, je l’ai dit, qui se tient depuis 2017 à fréquence régulière par une ONG, est un engagement inflexible, révélateur du soutien constant du Gouvernement de la République, à poursuivre la marche avec PRATIC et OSIANE, dans la promotion des TIC au Congo et en Afrique.

Pérenniser cette identité et promouvoir l’action Gouvernement /ONG, valoriser les talents, rapprocher les intelligences africaines, développer la culture numérique, tels sont les objectifs du Salon international, lesquels objectifs adhèrent si bien à la vision de la chose numérique de Son Excellence Monsieur le Président de la République, Chef de l’Etat et de son Gouvernement.

Ouvrant les travaux de ce salon, le premier ministre chef du gouvernement Anatole Collinet Makosso a lancé un appel à l’ensemble des dirigeants présent à ce grand rendez-vous, de créer les conditions pour aider cette jeunesse à devenir indépendante, en lui offrant des opportunités d’emplois.
Outre cet appel, le chef du gouvernement a également adressé une mention particulière aux organisateurs d’avoir mis en place un espace d’incitation à la jeunesse créative et innovante à travers le prix de 10 millions de FCFA du challenge startup Bassin du Congo. 


Cette édition qui s’est ouverte le 23 avril, prendra fin le 26 avril prochain le clou de cette cérémonie a été la visite guidée des stands par le premier ministre chef du gouvernement et sa suite.

https://soleildafrique.over-blog.com/2024/04/salon-osiane/le-numerique-comme-axe-strategique-majeur-de-developpement.html

Construction d’un appareil de séchage des aliments par un congolais 242

Séchoir Moboti ou Déshydrateur Moboti est une fabrique qui fonctionne à l’aide du courant domestique, du charbon et même de l’énergie solaire. Ce séchoir Moboti made in Congo permet de sécher tout ce qui est aliment : viande, poisson, foufou, fruits, les légumes… Sur ce, cette technologie a une capacité de sécher les aliments en 6h du temps moyen, à titre de rappel, dans la famille des aliments, certains contiennent beaucoup d’eaux, certains n’en contiennent pas accès. A noter que ce séchoir dispose d’un système tant de récupération que de conservation de la chaleur qu’il peut dégager. Le groupe Moboti se trouve sur la rue Loubomo derrière l’hôpital de Talangaï. Pour plus d’informations appelez : +242053628238.

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Un véhicule tricycle hybride (électricité et solaire) 100% écologique fabriqué au Congo Brazzaville

HOZ Missat 3000, est une marque de véhicule tricycle hybride (électricité et solaire) fabriquée par un innovateur congolais, M. AKIERA OBAMBE. Ce véhicule destiné aux personnes à mobilité réduite (PMR) est équipé d’une petite centrale solaire qui produit 3000W, suffisant tant pour recharger ses batteries sans l’apport du courant domestique que pour alimenter un post téléviseur ou un téléphone portable. Cette technologie made in Congo a une capacité de transporter cinq (5) personnes dont une place chauffeur et quatre (4) places assises sur la banquette arrière.

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